Mon clin d’œil annuel à Bertha Huber!


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cela fait maintenant 15 ans que j’affiche ce tableau délicieux à la fête de l’Assomption de la Sainte Vierge, non pas par irrévérence ou même par espièglerie, mais plutôt pour nous aider à comprendre ce qui s’est passé dans la vie de Marie et comment cela se rapporte aux nôtres. De la site du peintre, Marcia Sandmeyer Wilson:

« Cette peinture à l’huile 16×20 s’appelle L’Assomption de Bertha Huber. C’est la troisième version que j’ai faite de ce thème. Mlle Huber était marraine de mes trois enfants. Elle est décédée à l’âge de 87 ans en août 1975 et J’ai dit aux enfants que je peindrais à quoi ça ressemblait « vraiment ».
« Mlle Huber était de Munich, alors je sais qu’elle attendait de jolis anges blonds qui l’attendaient au paradis…
« À le bas du tableau est censé être moi et les trois enfants pleurant pour elle à la maison de retraite où elle avait expiré quelques instants avant notre arrivée. C’était une très bonne maison de retraite, d’ailleurs, nommé Calvary, dans le Bronx. »
Peignant dans le style de l’art populaire, Wilson nous a donné une appréciation de l’art populaire de la Hypothèse. Le mot vient du latin je suppose ce qui signifie de prendre à soi.


La fête de l’Assomption célèbre la prenant à lui-même sa Mère bien-aimée, la Mère de nous tous, qui, l’Église l’a enseigné dès les premiers temps, était assumée au ciel corps et âme de peur que son corps, qui portait le Christ, dans le monde, devrait subir toute corruption.

Nous prions pour qu’un jour le Seigneur le fasse emmène-nous à lui-même au moment de notre passage de cette vie à la vie éternelle avec Dieu: un le jour où les mains qui descendent dans la peinture de Wilson vous atteindront et moi. Non, nous ne serons pas supposés corps et âme: cette bobine mortelle de la nôtre subira l’inévitable corruption de la nature. Pourtant, un jour, nous priez et espérez, le Seigneur réveillera chacun de nous à la gloire et à nos âmes seront réunis avec nos corps dans un état glorifié, la beauté de ce que nous ne pouvons pas encore imaginer. 




I rappelez-vous avoir été appelé, il y a quelques années, pour visiter et prier avec une femme qui était mourant. Margaret n’avait que quelques semaines devant elle 103e anniversaire! Je l’ai vue quelques heures seulement avant sa mort et pourtant elle était comme tranchant comme un aiguillon, me saluant par mon nom, me remerciant d’être venu la voir, et je me joins de tout cœur aux prières que j’ai offertes avec elle et pour son.

Mais il y a eu des moments pendant ma visite où Margaret semblait distraite de notre conversation, s’efforçant de voir quelque chose au-dessus d’elle que je ne pouvais pas voir. Et plusieurs fois elle tourna la tête, comme pour écouter de plus près un voix que je ne pouvais pas entendre…   Je ne sais pas, mais je ne serais pas surpris si cette belle femme s’occupait des visages et des voix de les anges et les saints, Marie, notre Mère Bénie, et le Seigneur lui-même alors qu’il se préparait pour l’emmener à lui-même

Le paroles de l’ancienne préface de la Messe pour l’Assomption de la La bienheureuse Vierge Marie parle bien de ce que nous célébrons ce jour:



Père, Dieu tout-puissant et toujours vivant,
nous faisons bien toujours et partout de vous remercier
par Jésus-Christ notre Seigneur.

Aujourd’hui, la vierge Mère de Dieu a été élevée au ciel
être le commencement et le modèle de l’Église dans sa perfection,
et un signe d’espoir et de réconfort pour votre peuple sur son chemin de pèlerinage.



Tu ne me permettrais pas de toucher son corps,
car elle avait enfanté ton Fils, le Seigneur de toute vie,
dans la gloire de l’incarnation.

Dans notre joie nous chantons à ta gloire
avec tous les chœurs d’anges…


  

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