C’est la fin du jour, Seigneur,
et nous cherchons un abri:
abri des soucis, des peurs et des blessures
et nous cherchons un abri:
abri des soucis, des peurs et des blessures
qui nous hantent nuit et jour;
abri des tempêtes locales
qui assombrissent nos perspectives de demain;
abri de nos fardeaux secrets
connu de peu ou pas
mais vous le savez si bien
dans ta sagesse, ta grâce et tes soins;
abri, Seigneur, de ce qui diminue
notre force, notre nerf, notre motivation;
et abri, Seigneur, de tout ce qui nous garde
de votre doux contact quotidien sur nos cœurs…
Protège-nous, Seigneur, donne-nous un abri:
la voie à suivre est sombre et difficile à voir.
Protège-nous, Seigneur, sois notre berger:
tout ira bien si seulement vous êtes notre abri…
Protège-nous, Seigneur, sois notre berger:
tout ira bien si seulement vous êtes notre abri…
Protège-nous pendant la nuit, Seigneur:
pendant que nous sommes éveillés et pendant que nous dormons
qu’éveillés, nous pourrions surveiller avec vous
et endormi, repose en paix...
La chanson de ce soir a été écrite par Michael Joncas juste à
le début de la pandémie. Cet enregistrement de Paul
Weisenburger est le plus simple, le plus fin et le plus priant
interprétation de cette chanson que j’ai entendue…
Berger et brebis, mon Dieu et moi:
aux champs verts frais, tu as mené mes pas dans les jours passés.
Tu m’as donné du repos près de sources tranquilles
et rempli mon âme de paix que votre présence aimante apporte.
aux champs verts frais, tu as mené mes pas dans les jours passés.
Tu m’as donné du repos près de sources tranquilles
et rempli mon âme de paix que votre présence aimante apporte.
O mets-moi à l’abri, O mets-moi à l’abri:
la voie à suivre est sombre et difficile à voir.
O mets-moi à l’abri, O mets-moi à l’abri:
tout ira bien si seulement vous m’abritez.
Pourtant, maintenant, je marche d’une manière différente;
chiens de la mort mon chemin à pas furtifs au jour le jour.
Je ne trouve pas votre endroit paisible
mais demeurez dans les ténèbres mornes, aspirant à votre visage.
Je reviendrai dans les jours à venir
et réalisez que votre fidélité m’a conduit à la maison.
Dans ta maison, je trouverai ma paix,
confiant que dans ta miséricorde tu m’as abrité.