Le 6 janvier est le premier anniversaire de l’attaque contre le capitole de notre pays, alors nous ferons une pause et prierons aujourd’hui pour notre nation, ses dirigeants et son peuple. J’ai choisi pour notre réflexion une partie de la prière offert lors de l’inauguration de George Washington (1789) par l’évêque John Carroll. Washington a été inauguré à New York lorsque Carroll était évêque de Baltimore, le premier diocèse catholique des États-Unis. Cette prière est aussi appropriée aujourd’hui qu’elle l’était lors de sa première offrande, il y a 233 ans…
Nous prions Dieu de puissance, de sagesse et de justice,
par qui l’autorité est correctement administré,
les lois sont promulguées et le jugement décrété,
aider avec votre Esprit Saint de conseil et de courage
le président de ces USA,
afin que son administration soit conduite dans la justice
et soyez éminemment utile à votre peuple qu’il préside;
par encourager le respect dû à la vertu et à la religion;
par une exécution fidèle des lois dans la justice et la miséricorde;
et en restreignant le vice et immoralité.
Laissez la lumière de votre sagesse divine
diriger les délibérations de Congrès,
et briller dans toutes les procédures et les lois
encadré pour notre règle et gouvernement,
afin qu’ils puissent tendre à la préservation de paix,
la promotion du bonheur national,
l’augmentation de l’industrie, sobriété et connaissances utiles;
et peut nous perpétuer la bénédiction de liberté égale.
Nous prions pour son excellence, le gouverneur de cet État,
pour le membres de l’assemblée,
pour tous les juges, magistrats et autres officiers
qui sont nommés pour protéger notre bien-être politique,
qu’ils puissent être activé, grâce à votre protection puissante,
pour s’acquitter des tâches de leur stations respectives
avec honnêteté et capacité.
Nous recommandons également, à votre miséricorde illimitée,
tous nos frères et concitoyens
partout aux États-Unis,
afin qu’ils soient bénis dans la connaissance
et sanctifié dans l’observance
de ta très sainte loi;
qu’ils puissent être préservés dans l’union,
et dans cette paix que le monde ne peut pas donner;
et après avoir joui des bénédictions de cette vie,
être admis à ceux qui sont éternels.